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Table des matières
Les marques que nous aimons le plus, par génération
Donnez-moi votre âge, je vous dirai ce que vous aimez 🔮 C’est en substance l’idée derrière cette infographie de Visual Capitalist. Elle se penche sur un effet intéressant, celui de l’attachement aux marques en fonction de l’âge (dans le cas présent, auprès des consommateurs américains) 🧐
Cet effet est d’autant plus significatif lorsqu’il s’accompagne d’une sorte de connexion intime personnelle avec le consommateur. Qu’il s’agisse d’un effet de groupe, de souvenirs provoquant des émotions ou d’un service rendu effectif, les marques dites « intimes » peuvent ainsi bénéficier d’une série d’effets psychologiques bénéfiques. Selon le classement de l’étude Brand Intimacy Study de MBLM, les marques intimes surperforment nettement le S&P500 en termes de revenus et de profits 😮
L’infographie et l’étude sur laquelle elle se base définissent 3 grandes générations :
- Milléniaux (générations Y et Z), soit les personnes nées entre les années 80 et 2010 (30 % de la population mondiale) ;
- La génération X, dans les années 60-70 ;
- Les Baby Boomers, de l’après-seconde guerre mondiale aux années 60.
Et ce qui est clair, c’est que les marques préférées sont globalement clairement différentes selon les générations 🤭 Là où les Milléniaux plébiscitent Sony/PlayStation, Amazon ou encore Disney, la Génération X est quant à elle plutôt tournée vers les mastodontes technologiques, tels Apple, Amazon, Netflix ou encore Samsung 😀
Enfin, les Baby Boomers s’orientent plutôt vers des marques plus traditionnelles, de biens de consommation plus classiques, tels Kellogg’s, Costco, Toyota ou encore Pepsi 👀
Des disparités, donc, sauf pour Amazon. Le géant du commerce de détail figure en effet dans le top cinq des Milléniaux, de la génération X et des baby-boomers 🏆 Chez ces derniers, Amazon a même gagné la première place, preuve supplémentaire (si besoin était) de la toute-puissance de cette entreprise/marque dans le quotidien moderne 😶
En tant que millénial de la génération Y, je me retrouve assez bien dans mon classement générationnel, bien que n’étant pas américain. Et vous ? Dites-nous en commentaire 👍🏻
Optimistes, apprenez des pessimistes
En ce début d’année, l’heure est au renouveau, aux bonnes résolutions et aux objectifs 🙃 Et quelle meilleure façon de s’améliorer que d’apprendre de ses erreurs ? Ou mieux, de celles des autres ? 😁
C’est tout l’intérêt de cet article de The Sleepwell Strategy qui, à partir de son expérience dans le monde obligataire, vous propose 3 leçons applicables au monde des actions :
- N’oubliez jamais le risque à la baisse 🏴☠️
- La réflexivité, concept cher à George Soros 🔎
- L’effet de levier pose rarement problème, contrairement aux échéances financières de la dette 💰
Fixed Income Lessons and How to Apply Them When Investing in Equities.
Un panorama du métavers
Poursuivons avec une infographie des compagnies actives dans le métavers, crée par Jon Radoff, entrepreneur américain et « metaverse enthousiast », très actif sur ce sujet sur Medium 🔥
Au-delà des grands noms qui font le buzz actuellement (Meta, Fortnite, Roblox), il existe en effet (déjà) toute une galaxie d’entreprises actives, de près ou de loin, dans l’élaboration du métavers 😮
Et en parlant de métavers, c'est l'heure des courses…
Tant que nous sommes la thématique, voici une entreprise que vous ne trouverez pas dans l’infographie précédente 😅 Il s’agit pourtant d’un mastodonte américain dans le secteur… Des magasins physiques. Walmart 🤭
L’entreprise présentait en 2017 (!) une vidéo concept de ce que serait une expérience d’achat entièrement virtuelle qui met les acheteurs à l’intérieur du magasin, sans jamais quitter leur maison 🕶
Car oui, même un acteur traditionnel comme Walmart cherche à se réinventer, à suivre l’essor technologique. L’entreprise est déjà très active dans l’étude des données et des habitudes de consommation, mais également la réinvention de l’expérience d’achat 💭
Bon, après, soyons honnête : ça fait très « courses de l’ancien monde » 😁 À l’heure où l’e-commerce grimpe en flèche et où la friction doit être minimum, je me pose la question de la pertinence d’une telle offre si elle se concrétise un jour. En tout cas, dans la forme telle que présentée en 2017.
Récupérer d'une perte, ce n'est pas si simple
Pour terminer, un petit rappel en cette fin de semaine chahutée. Si vous perdez 20 % de votre capital sur un placement, quelle performance devrez-vous atteindre pour récupérer de vos pertes ? 20 % ?
Perdu : 25 % 🧮
Basé sur l’infographie originale de Professor Kalkyl (@Prof_Kalkyl)
Lorsqu’il s’agit de calculer des pourcentages de rendement, le calcul va toujours du point de départ au point d’arrivée, avec la valeur de départ comme base. Par exemple, un investissement vaut 100 €. S’il augmente de 10 %, il vaudra 110 €. Une baisse de 10 % vous aurait amené à contrario à 90 €. Les 10 % sont basés sur la situation initiale de 100 €.
Mais après avoir perdu 10 %, le nouveau point de départ sera de 90 €. Puisqu’il faut un gain de 10 € pour revenir à 100 €, 10 divisé par 90 implique qu’il faudrait un gain de 11,1 % pour se remettre de la perte.
Et malheureusement, plus les pertes augmentent, plus le rendement nécessaire pour revenir au seuil de rentabilité augmente, à un rythme d’autant plus rapide. Ce que démontre parfaitement le graphique, qui vous parlera peut-être plus que ma démonstration mathématique 😁
Moralité : il ne faut pas avoir peur de couper ses pertes, car la remontée sera peut-être bien difficile…
